La réduction des programmes de formation [electronic resource] : Une question de pouvoir / Jeroen Huisman et Oscar van Heffen
Material type:
Item type | Home library | Collection | Call number | Status | Date due | Barcode | Item holds | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Working Paper | Biblioteca Digital | Colección OECD | OECD hemp-v15-art17-fr (Browse shelf(Opens below)) | Not For Loan |
Collection: Colección OECD Close shelf browser (Hides shelf browser)
Au début des années 90, le gouvernement néerlandais et des représentants des organisations patronales ont exhorté le secteur de l'enseignement supérieur professionnel (HBO) à restructurer son offre de formations. Les différentes filières du HBO ont été sommées de réduire le nombre de leurs programmes afin d'en améliorer les performances. Une théorie fondée sur la dépendance financière et l'analyse de réseau est avancée pour expliquer pourquoi certains sous-secteurs ont réagi différemment aux pressions exercées. L'analyse expérimentale de quatre sous-secteurs est effectuée : agriculture, économie, ingénierie, et culture-société. L'hypothèse de départ n'a pu être qu'en partie confirmée, mais un effet combiné d'une dépendance à l'égard du gouvernement, d'une dépendance à l'égard du marché du travail, et de l'hétérogénéité sous-sectorielle est démontrable. Vu le nombre limité de cas étudiés, des recherches complémentaires sont recommandées. Parallèlement, il est entendu que la macro-démarche quantitative retenue doive être complétée par des microanalyses (études de cas) de l'apparition et de la disparition des programmes de formation.
There are no comments on this title.